En Yougoslavie, une cinquantaine de gendarmes royaux et des unités du III Corps participent à l'exécution de 900 civils serbes ou juifs le 22 janvier 1942, dans le cadre de ratissages contre les partisans dans la région de la Backa, rattachée à la Hongrie. Parmi les responsables, le capitaine Sandor Képiro, mort récemment à Budapest le 3 septembre 2011, âgé de 97 ans.
Ce qu'on appelé le raid de Novi Sad (ou massacre d'Ujvidek) s'est terminé par la mort de 3000 à 4000 Serbes, Juifs et même Hongrois durant le mois de janvier 1942. Le Régent Horthy ayant exigé une commission d'enquête, quinze officiers dont douze appartenant à la gendarmerie, dont Képiro sont condamnés à de lourdes peines dont quatre à mort. Ces quatre officiers s'enfuient en Allemagne et retournent en Hongrie en 1944, lorsque le régent Horthy est évincé et remplacé par Ferenc Szalasi, chef des Croix-Fléchées, parti national-socialiste, antisémite.
Ce qu'on appelé le raid de Novi Sad (ou massacre d'Ujvidek) s'est terminé par la mort de 3000 à 4000 Serbes, Juifs et même Hongrois durant le mois de janvier 1942. Le Régent Horthy ayant exigé une commission d'enquête, quinze officiers dont douze appartenant à la gendarmerie, dont Képiro sont condamnés à de lourdes peines dont quatre à mort. Ces quatre officiers s'enfuient en Allemagne et retournent en Hongrie en 1944, lorsque le régent Horthy est évincé et remplacé par Ferenc Szalasi, chef des Croix-Fléchées, parti national-socialiste, antisémite.