Ici l'auteur, détient d'une source directe, ayant le droit à l'accès aux archives de la Société Rheinmetall (sûrement détenant des notions d'ingénierie, dans le domaine de la mécanique, chez les allemands, lorsque une personne, détient un rang d'ingénieur, chez eux, ils les dénomment tous par "Dr. Ing." Pour le doctorat d'ingénieur Ou "dip. Ing." Pour l'ingénieur Diplômé. Mais ici l'auteur dans son livre, l'avait juste remercié, en intégrant son nom, sans son rang dans la société).
C'est pour cette raison, que le récit est aussi complet sur les données.
Mais néanmoins, j'intègre en plus, des auteurs Russes, pour Leningrad, et Sebastopole, justes pour voir si les deux versions se concordes, et même je vais voir,si nos amis les viking Norvégiens eux détiennent des informations sur les unités, en raison, que je connaissait que ces unités d'artilleries, ont été créer sur leurs propres sol. Pour son utilisation, contre la forteresse de Brestlitovks, ici, ce n'est même pas la peine d'y songer, pour avoir des survivants, en raison, comme ont le sait, du côté Russes, il n'y a pas eu de survivant de l'assaut sur la fortification, du moins, ce qui ont combattu et résister jusqu'au dernier jour. Oui bien sûr il existe toujours les récits provenant des états major, de la division, et de l'armée, mais, mais mais, les données ne seront uniquement valable, pour les jours, ou ils avaient encore une liaison radio avec eux, et encerclé, il n'y avait aucun moyen pour communiqué à travers des personnes qui pourraient effectuer la liaison. En raison de leur retraite au jour le jour, ici ce ne serait que par pure chance de retrouver les lieux de cantonnement des états major.
Mais néanmoins, avec les photos prises par les allemands, les photos parles d'elle-même, pour nous en donnez une vision de la puissance de l'arme….
Alors ont ne parle même pas de la puissance que la "Dora" détenait. (Sur celle-ci, j'en parlerais ultérieurement avec bien sûr un autre sujet.)
C'est pour cette raison, que le récit est aussi complet sur les données.
Mais néanmoins, j'intègre en plus, des auteurs Russes, pour Leningrad, et Sebastopole, justes pour voir si les deux versions se concordes, et même je vais voir,si nos amis les viking Norvégiens eux détiennent des informations sur les unités, en raison, que je connaissait que ces unités d'artilleries, ont été créer sur leurs propres sol. Pour son utilisation, contre la forteresse de Brestlitovks, ici, ce n'est même pas la peine d'y songer, pour avoir des survivants, en raison, comme ont le sait, du côté Russes, il n'y a pas eu de survivant de l'assaut sur la fortification, du moins, ce qui ont combattu et résister jusqu'au dernier jour. Oui bien sûr il existe toujours les récits provenant des états major, de la division, et de l'armée, mais, mais mais, les données ne seront uniquement valable, pour les jours, ou ils avaient encore une liaison radio avec eux, et encerclé, il n'y avait aucun moyen pour communiqué à travers des personnes qui pourraient effectuer la liaison. En raison de leur retraite au jour le jour, ici ce ne serait que par pure chance de retrouver les lieux de cantonnement des états major.
Mais néanmoins, avec les photos prises par les allemands, les photos parles d'elle-même, pour nous en donnez une vision de la puissance de l'arme….
Alors ont ne parle même pas de la puissance que la "Dora" détenait. (Sur celle-ci, j'en parlerais ultérieurement avec bien sûr un autre sujet.)
A:La naissance du projet du Bébé!
Sur les raisons de la nécessité pour la construction d'arme puissante, la raison fut la destruction à long terme des fortifications et des ouvrages fortifier etc, telle que la ligne Maginot, ou celle du Canal Albert, à la fin de l'année 1935. La société "Rheinmetall" débuta ses plans pour la construction d'un Mortier super lourd. Au mois de Mars 1936, les avancés des travaux était devenu un rapport sur les possibilités de conceptions, pour construire une telle arme. Que la société "Rheinmetall" transmis au service de l'armement de la Wehrmacht (Waffenamt).
La conception du projet émergea de la fantaisie réelle, et encore plus qu'une quelconque idée farfelue provenant de la fiction:
Construire un Mortier d'un calibre de 800mm, qui pouvait tirer un obus d'un poids de 4000 Kg, et ou la vélocité de tir serai de 100 m/s pour une distance de 1000 mètres, et avec un obus de 2000 Kg, la vélocité du tir fut encore augmenté à 140 m/s et sur une distance de 2000 mètres. Et il existait trois possibilités pour transporter le mortier à son emplacement de Tir: Soit de monter le mortier sur un véhicule entièrement chenillé.
Monté sur des patins et où il fallait désassemblé le Mortier en petite chargement, et le transporté sur roue avec des camions chenillés.
Au mois d'octobre 1936, à la société "Rheinmetall" a été confié la création d'un modèle du mortier super lourd pour les tests, en ayant les spécifications du projet (TU):
a. Distance de la portée: 3000 mètres.
b. Le poids et l'engin, devait pouvoir être monté pour être près au tir, jusqu'à un délai de 6 heures.
c. la conception des obus, qui pourront possédé un effet les plus performant à travers a) de délivré sur la cible, la plus grande quantité de charge explosive, et b) d'autant plus d'utiliser la vélocité de tir pour accroître la pénétration. Et le poids initial de l'obus est de 2000 Kg.
d. L'arme devait être démonté sur des camions et des remorques, ou sur un véhicule entièrement chenillé. Et un véhicule spécial détenant un engin pour soulever (une grue avec un treuil), devait être utilisé pour le réassemblage des divers éléments sur le site de tir.
(Ce qui est entièrement compréhensible, du fait, que en race campagne, il n'y existe pas les machines des treuils et grues, qui se trouve sur un chantier de construction qui ont servit pour désassembler, ou dans un centre de réparation.).
e. Le tube du canon devait être conçu en tant que bouche pour le chargement, et que ainsi son angle vertical (ex. supérieur à 45 °) apparu être suffisant.
Et la demande d'accroissement de la portée de tir de 2000 à 3000 mètres, ces spécifications eurent obligés les concepteurs, d'ajouté des modifications au concept initial du projet, qui accru le temps de travail sur le site de tir lors de son réassemblage. Le projet (TU) a été débattu de nombreuse fois lors des séances en compagnie des délégués de l'état. Au mois de janvier 1937, la société Rheinmetall à proposé un projet préliminaire au Wa. Prw 4. (Waffen pruefwessen (Bureau ou département pour la Certification d'homologation pour l'armement)) ou furent établi les modifications de la version militaire TU:
Calibre: 600mm
Poids de l'obus: 2000 Kg.
Vélocité de Tir: 200m/s
Portée de Tir: 3000 m.
Hauteur de la position de tir: 1600 mm
Guidage de l'angle vertical: 125°
Guidage de l'angle Horizontal: 120°
Poids du mortier: 55 tonnes
Le projet du Mortier TU, était un projet d'une arme détenant un canon fixe, et qui devait être transporté à sa zone de tir, comme il a été spécifier dans la demande, en devant êtres désassembler entre 7-8 partie, et ou chaque pièces transporter pouvait détenir un poids allant jusqu'à 9 tonnes. Ce qui a été déterminant pendant sa conception, qui d'après leurs calcule aurais eu besoin de plus des 6 heures nécessaires au remontage des divers parties à son emplacement de tir, Au lieu de cette variante, la société "Rheinmetall" souhaita proposé en remplacement, transporter le mortier à sa place de tir sur un châssis d'une machine autopropulsé.
Sur un châssis autopropulsé, le système à été conçus pour inclure la machinerie dans la partie basse du châssis, pour laisser à la plateforme son droit, pour être utiliser en tant que position de tir. L'utilisation d'un tel système réduit la durée du temps, pour emmener la machine à son emplacement de tir à une demi-heure. Tandis que l'ancien projet démonter en plusieurs éléments, nécessitait au mortier pour le transporter à sa position de tir jusqu'à 6 heures.
L'énergie du recul du tir, a été significativement été réduite en ajoutant un système avec un chariot de recul, l'énergie horizontal restante à été absorbé par une enveloppe.
Basé sur la rapidité de temps pour entrer en action, ils se sont de suite mis au travail pour y intégré les travaux sur une plateforme, et l'élimination du besoin nécessaire pour le transporter en multiple partie sur des camions, au mois de Février 1937, les délégués de l'état, ont donné leurs feu verts pour l'utilisation d'un châssis autopropulsé, et au mois d'Août 1937, le projet de la conception changea en "projet 4", ou furent ajouté de nouvelle spécification des militaires, qui ont demandé d'augmenter la portée de tir à 4000 mètres. La bouche de chargement à été abandonnée, et son sens de la direction de tir, a été installée à l'opposer du sens de marche du châssis. Dans des cas identiques, ses installations peuvent très vites partir de leurs position de tir " lorsque l'artillerie adverse les as détecté" en raison que des installations aussi imposantes sont toujours dangereuse.
Ici les données de base pour le mortier "Projet 4" (Si vous, vous posez la question, sur la dénomination, attendez juste après les données, et vous décoderez vite, la signification pour "projet 4")
- Calibre: 600 mm.
- Poids de l'obus: 2000 Kg.
- Poids de la charge d'explosive dans l'obus. 350 Kg.
- Portée de tir jusqu'à 4000 m.
- Hauteur de la position de tir: 3200 mm.
- Guidage angle vertical entre -10 et +75°
- Guidage angle Horizontal -50°
- Poids de l'artillerie 64.5 Tonnes
- Poids du châssis 32.5 tonnes.
- Poids total de l'engin 97 tonnes.
Ici une photo d'un obus Beton Granate 040. (obus béton), qui a été utiliser par le mortier.
(désolé pas de photo en raison du délai d'attente de 7 jours sur ce forum)
Lors de la séance du 9 Mars 1938, le chef du 4. Wa. Prw. departement de la Wehrmacht (4ème département du ministère de l'armement de la Wehrmacht Certification d'homologation), le Général Karl Becker (en l'honneur de Becker, a été dénommé le mortier par son prénom, (d'autre source énumèrent aussi, le nom de Karl der Grosse "Charles le grand")). Becker a été l'officiel qui a été le plus étroitement liée avec le projet et de ses avancées de la création. Ce fut lui-même qui se porta caution auprès des militaires et autorisa le début de la planification. Le Waffenamt fut d'accord avec les formes de base du projet, et ils les autorisèrent pour démarrer sa construction d'après les plans.
En raison des considérations techniques, le General Becker, fit mettre en avant que un certain nombre de ses armes devront être utiliser ensemble pour engager les emplacements fortifiés de l'ennemi.
Ou il fut conclut un contrat pour construire 6 autres machines à coté du Versusgeraet (prototype).
Les calculs basé sur la conception proposé, à révélé que la pression au sol, en dessous des chenilles allait largement excédé la valeur standard de 0.7 – 0.8 Kg/cm2 que détenait les engins chenillé se trouvant actuellement sur le marché.
Aucun engin actuellement n'était disponible, qui pouvait résister à une telle pression au sol. Ainsi donc au mois de Mars et Avril 1938, les essais de conduites ont été effectuer en utilisant le Neubau Fahrzeug Nr1. (Engin de nouvelle conception N°1, c'était l'ancêtre du Pz. IV conçus par la société Rheinmetall.) La pression au sol a été augmentée de 1.1 à 1.43 Kg/cm2, en y intégrant des poids subsidiaires sur la superstructure de l'engin. Les essais ont inclus la conduite en ligne droite, autant dans des virages sur surface dure, et ainsi que sur hors route, sur du sable, en traversant des terres cultivé, sur de la surface argileuse hautement boueuse. Pour la mobilité suffisante en hors route, celle fut uniquement envisageable, avec des charges supérieur à 1.43Kg/cm2.
Et une attention toute particulière a été donnée aux essais de la conduite de l'engin, ou apparu que le rapport entre la longueur de la chenille et les roues de bases, détenait 1.8, ce qui a été extrêmement favorable, en raison, que pour les autres conceptions, ils fut demandé d'augmenter le rapport du véhicule à 2.64.
Depuis qu'il n'y a pas eu d'expérience pratique sur les rapports supérieurs à 1.8, et que la limite théorique pour la manœuvre détenait un rapport de 2, les essais du modèle ont été gardé en tant que réponse à la question, si un véhicule chenillé pourrait aisément manœuvrer avec ce très grand rapport.
(Et là, je vient de trouver la réponse aux question que je me suis posés. A savoir, j'ai eu des doutes en regardant quelques photos que j'avait trouvé sur le net, dont ont peut clairement remarqué que ce ne sont que des modèles réduit. (Photo prise à raz du sol, et l'engin est assez petit par rapport à la distance d’où la photo à été prise.
(comparer à d'autre photo, qui elle ont été prise lors de l'attaque sur la forteresse de Brestlitovsk) avec d'autre détail flagrant, telle ne possédant pas d'arrière plan, d'un bâtiment ou du ciel, ou encore des plaines, terres, montagne etc… (mais cela peut aussi se rapporter, pour les raisons, que le projet était en ce temps là top secret… et que pour censurer, quelqu'un a délibérément supprimer tout les détails de l'arrière plan, permettant d'identifier l'usine de construction, ou autre chose, mais là comme moi, je suis un érudite de la photo argentique, je me suis posé la question, sur comment ont t'il réussis ce coup flagrant, pour soutirer après d'un développement d'un film, les détails de l'arrière plan???? Où alors avant de prendre la photo, a été utiliser de grand panneaux de contre plaqué, et qu'ils ont posé délibérément à l'arrière du modèle.) Mais si vous lisez la suite vous comprendrez tout seul, du moins si ce sont les photos d'un modèle réduit, comme je le pense.)).
Un moteur électrique permit de faire fonctionner le modèle téléguidé (filaire, (pour le Pz. VIII Maus, a été aussi fait une version téléguidé, et ou ont peut apercevoir sur la photo Adolf et les concepteurs)), qui a été terminé au mois d'août 1938, et possédant les éléments importants telle que les suspensions, et l'échelle était 1/10.
Le rapport de manoeuvrabilité pouvait être ajusté entre 1.5 à 2.65. Et la pression au sol, pouvait être incrémenté de 0.7 à 1.1 Kg/cm2. En utilisant un nombre d'instruments, la vitesse et la puissance nécessaire pour faire fonctionner chaque chenille, pouvaient être précisément être réglé dans les virages. Un nombre d'essais de la manoeuvrabilité, a été effectuer sur du béton, goudronné et sur de l'herbe, autant sur surface plane que incliné à 3,6 et 9°. La manoeuvrabilité suivant une direction indiqué était plus difficile à réaliser avec un rapport de 2.65. Et encore moins sur une surface glissante (plaque d'acier contenant de l'huile), ni sur de la terre étant molle, ou il ne fut possible d'avoir une quelconque manoeuvrabilité. Pour que ainsi ont connaissent la manoeuvrabilité qui était attendu à partir du véhicule produit.
Les essais de conduite avec le modèle a permit de nous donnez une bonne base, pour connaître la puissance imposante nécessaire pour faire fonctionner les chenilles.
La conception et la construction d'un chariot de test pour les tirs, démarrèrent parallèlement avec la finition de la conception pour tout le système entier de l'arme. Les essais de tirs ont été effectuer dans la période entre le 23 au 25 juin 1939; et résultant à un recul de tir d'une longueur de 1000 mm avec un freinage de pression au alentour de 450 tonnes. Les tirs ont servit au test du tube du canon, du chariot et du système du recul, et bien entendu pour connaître la charge adéquate du type et du nombre de poudre que l'obus devait détenir.
Plus tard, les tests de tir qui ont été effectué, étaient pour tester le tir dans des caisses d'acier coulé, et pour obtenir des données pour en faire une table de tir incluant les charges, la portée et les variantes en vélocité et leurs exactitudes de tir.
En Octobre 1939 la compagnie "Rheinmetall –Boersig" à reçus un contrat pour élaborer la conception du Munitionschlepper "convoyeur de munition ou transporteur de munition". Où pour la base du châssis du convoyeur a été utiliser celui d'un Pz Kpfw. IV. Et où sur le châssis fut monter une grue contenant un treuil électrique, ce dernier avait pour mission, de délivré l'obus avec sa charge dans la bouche de tir, et qui pour sa version standard était préparer pour transporter 4 obus de l'engin, où les obus étaient entreposés dans des caisses séparé, et l'équipage était cantonné à l'arrière du convoyeur. Et les caisses de munitions ont été attachées à chaque côté avec des bandes métalliques. La grue avec son treuil, était alimenter par le générateur diesel 2 cylindres identique, qui a été monté sur tout les Pz. IV, et qui lui servit à faire tourner la tourelle dans les Pz. IV. La longueur maximale du bras de la grue treuil, a été sélectionnée pour pouvoir uniquement être suffisante, lorsque le convoyeur se tenait à ses côtés pour décharger l'obus du convoyeur jusqu'à la bouche de chargement du Geraet 040. L'obus à été transporté à travers une pince spéciale d'obus qui était arrimé sur l'avant droit du convoyeur de munition. Pendant les transports sur les voies de chemin de fer, ou lorsque le convoyeur à été soulevé pour être charger, la grue treuil a été arrimé sur le dessus des caisses d'obus.
Au mois d'octobre 1939, les travaux ont débuté sur le convoyeur de chemin de fer, qui permit de transporter la charge du Geraet 040. En raison de son immense poids et de la grande longueur, il était nécessaire de transporter ce mortier autopropulser, attacher à des traverses et transporter accroché, qui étaient monté sur deux portes charges ferroviaires contenant cinq axes. A travers un bras attaché au Geraet 040, qui a été soulevé a travers des gros cylindres hydrauliques, pour le transporter avec les chemins de fer.
Les premiers essais de manoeuvrabilité sur le châssis ont débuté en Mai 1940. Ces essais sur le châssis ont été effectués sous un simulateur spécial de masse, ou a travers se simulateur, cela nous permit de voir la masse et le centre de gravité du canon, qui devait être intégrer au châssis. Le programme du test complet, n'a pas été dévoilé, en raison de la teneur ultra secrète du projet Mortier.
A la demande du Général von Leeb, qui a été déterminant sur le nombre de porte chargement qui allait transporter le Geraet 040 désassembler. A savoir l'utilisation pour le support des charges, la base qui était utilisé pour les ponts lourds du génie. Sa remarque fut transmit au Wa. Pruef. 4, et lors de la réunion du 12 novembre 1940, la société Rheinmetall-Boersig à reçus le contrat de construire les engins permettant le transport des éléments sur les Culemeyer-Strassenfarzeugen (engin pour la route Culemeyer, résistant aux charges super lourdes, multi axiale et étant abaissé.) En raison que le châssis n'allait pas excéder la charge du poids limite du pont, il a été décidé que le châssis abaissé allait être transporter à travers la propre puissance des engins destiné au remorquage. Et dans cette vision, il a été sectionné des rampes de chargement, pour permettre au châssis de monter et de descendre à travers sa propre motorisation, sur les Culemeyer-Strassenfarzeug. Les autres composants eux ont été chargés sur ses remorques spéciales pour le transport lourd, à travers une grue capable de soulever jusqu'à 30 tonnes.