1C
Bonjours à tous les lecteurs!
Mais qu'es ce que ce 1C vient faire dans l'histoire de la seconde guerre mondiale?
Aha, si vous, vous êtes poser cette question, c'est que vous, vous trouvez au bon endroit, pour en connaître la réponse.
Bien alors débutons si vous le voulez bien!
Et commençons avec un premier auteur, qui saura mieux parler que quiconque autre.
Et lisez bien la partie de la préface.
Bien ici j'ai intégré une partie de la préface, pour que toutes les personnes, qui suivent ces sujets, seront aussi au courant, que dès le moment qu'il s'agit d'un service quelconque d'espionnage - contre espionnage provenant de n'importe quel pays, la publication posera divers problèmes. Et les documents archivé, comme l'éditeur ici l'a mentionné, ne sont pas toujours autorisé à la lecture, et encore moins aux photocopie, au personnes qui sont écrivains.
Dans son sujet notre cher Admin, Alexderome, à mentionné "Walli" oui, bien sûr dans la littérature russe, ont y trouve plein d'auteur qui en parle. Du coté occidentale, les unités "Walli" sont encore assez méconnu, en raison que elles ont opérer sur le territoire soviétique.
Mais je suppose identiquement, comme pour l'ancien NKVD, comme "Walli" était un sous organe de l'Abwehr. Pour trouver des documents véridiques, il faut déjà montrer patte blanche, en raison que ici non seulement, cela intègre les Allemands, mais comme "Walli" était directement subalterne aux affaire étrangère (de l'Abwehr), ainsi les relations diplomatique actuellement avec la Russie, pourrait prendre un coup. Donc même si quelque uns énumèrent, que le secret est levé sur les documents, teuteuteu, le secret restera classé, dans le cas, ou une affaire pourrait engendrer des relations néfastes, avec les diplomates du temps actuelle.
Et il existera toujours le cas, des documents compromettant qui ont été détruit, pour pouvoir garder sous la main, après la guerre, des plausibles Espion.
Et ici, le Groupe 1C ont le trouve Allant de Leningrad en passant par Sebastopole et la Krim.
Mais laissons en premier parler notre source. Et comme ce sujet à pour but, de discuté sur les groupes russes ayant intégré l'abwehr, je saute ainsi tout les paragraphe, qui ne parle pas de l'abwehr, et ce qui fait que ont arrive à un chapitre tout spécialement dédicacé à l'Abwehr.
Euhhhhhhhhhh la vous allez tombez de haut, pour toute les personnes qui ont vite conclu, que le groupe 1C était directement subordonné à l'Abwehr, ou au soit disant groupe "Walli".
Non, la réalité est tout autre. il a fait partie, comme ont pourra le voir, des 10+ groupe de renseignement, qui ont été créer.
Sonderführer Meisner, était le premier nom que j'ai trouvé.
Donc pour qu'il n'y pas de confusion, je vous donne la photo, en raison, que il existait encore un Otto Meissner.
et qui lui, n'a aucune liaison avec le groupe 1C
Donc Boris Meissner, qui était née à Pskov/Pleskau en 1915
donc pas encore de liaison avec von Regenau."
Bonjours à tous les lecteurs!
Mais qu'es ce que ce 1C vient faire dans l'histoire de la seconde guerre mondiale?
Aha, si vous, vous êtes poser cette question, c'est que vous, vous trouvez au bon endroit, pour en connaître la réponse.
Bien alors débutons si vous le voulez bien!
Et commençons avec un premier auteur, qui saura mieux parler que quiconque autre.
Et lisez bien la partie de la préface.
Albert Fedorovich Starodubchev ( Le front invisible de Leningrad ou les agents de sécurité de l'état à l'arrière de l'ennemi) a écrit:
Devant vous, vous avez un des rare livre de l'histoire — au sujet des agents de sécurité de l'état et qui ont effectuer la deuxième guerre mondiale, le livre est écrit par un de ses anciens ouvrier des organes de la sécurité de l'état, et le livre se base sur une quantité énorme de travail que l'auteur a effectuer dans les archives. Il a apporté d'une façon ou d'autre qui ainsi ont écrit sur le thème des services spéciaux, mais ces personnes, qui ont accès à ces archives, ils entreprennent rarement la plume, et les gens, qui écrivent au sujet des services spéciaux, sont rarement permis d'accéder aux archives. Le caractère spécifique de ce thème est tel, que plus rien ne restera caché depuis son- secret!
Cependant, ici, essentiellement, se basé sur les faits, la biographie, et les documents. Plusieurs problèmes se son posé et qu'il fallait en premier résoudre. Le premier était — de résoudre le problème lié au sujet du niveau du traitement littéraire entier de ce dossier. Le fallait t'il réellement le faire? Après que nous, nous étions penché sur la question, nous y avons résolu, par un non. N'importe quel changement effectuer sur la littérature diminue inévitablement l'authenticité de l'histoire, de cette grande vérité, qui en résulte de cette collection d'évidence. Évidemment sans en ajouter les commentaires, quelles difficultés ont rencontré les ouvriers pour l'administration du NKVD de Léningrad, en envoyant des soldats sur la ligne de front. Dix et cent furent partis, dont une unique personne était revenue. Mais ces unités sur la terre, ont été enveloppées à travers la crainte et la trahison, infectant des centaines de personnes par leur persévérance et par la foi dans la victoire……..
L'editrice Helena Prudnikov
Bien ici j'ai intégré une partie de la préface, pour que toutes les personnes, qui suivent ces sujets, seront aussi au courant, que dès le moment qu'il s'agit d'un service quelconque d'espionnage - contre espionnage provenant de n'importe quel pays, la publication posera divers problèmes. Et les documents archivé, comme l'éditeur ici l'a mentionné, ne sont pas toujours autorisé à la lecture, et encore moins aux photocopie, au personnes qui sont écrivains.
Dans son sujet notre cher Admin, Alexderome, à mentionné "Walli" oui, bien sûr dans la littérature russe, ont y trouve plein d'auteur qui en parle. Du coté occidentale, les unités "Walli" sont encore assez méconnu, en raison que elles ont opérer sur le territoire soviétique.
Mais je suppose identiquement, comme pour l'ancien NKVD, comme "Walli" était un sous organe de l'Abwehr. Pour trouver des documents véridiques, il faut déjà montrer patte blanche, en raison que ici non seulement, cela intègre les Allemands, mais comme "Walli" était directement subalterne aux affaire étrangère (de l'Abwehr), ainsi les relations diplomatique actuellement avec la Russie, pourrait prendre un coup. Donc même si quelque uns énumèrent, que le secret est levé sur les documents, teuteuteu, le secret restera classé, dans le cas, ou une affaire pourrait engendrer des relations néfastes, avec les diplomates du temps actuelle.
Et il existera toujours le cas, des documents compromettant qui ont été détruit, pour pouvoir garder sous la main, après la guerre, des plausibles Espion.
Et ici, le Groupe 1C ont le trouve Allant de Leningrad en passant par Sebastopole et la Krim.
Mais laissons en premier parler notre source. Et comme ce sujet à pour but, de discuté sur les groupes russes ayant intégré l'abwehr, je saute ainsi tout les paragraphe, qui ne parle pas de l'abwehr, et ce qui fait que ont arrive à un chapitre tout spécialement dédicacé à l'Abwehr.
Albert Fedorovich Starodubchev a écrit:Les Services spéciaux Allemands – L'ennemi du UNKVD (La lettre U se trouvant devant les autres lettre, désigne la Direction ou l'Administration).
Tout les deux le service de renseignement et le contre-espionnage Allemand ont été préparés en avance pour l'entrer en guerre avec l'Union Soviétique, et ce en attaquant pendant beaucoup d'années sur notre pays. Des officiers de renseignement et les saboteurs qui ont été entraîné pour mener des actions à l'arrière des lignes soviétique ont été conduits par le service de renseignement Allemand, en particulier, à Hambourg, aux alentours de Koenigsberg et de Varsovie.
Des candidats ont été recruté pour les formés et ont été choisis parmi le nombre d'habitants résident en Pologne et les états baltiques, et chose primordiale, ils devaient parlé la langue russe et connaître les habitudes et coutumes, les dispositions et les façons connues du comportement des Russes dans les conditions du service d'armée, sur le travail et dans la vie privée. Chaque groupe d'officier d'intelligence a été préparé pour une mission définie. Le choix des candidats a été accompli avec la vision de pouvoir l'utiliser pour qu'il puisse lui-même créé son réseau et le connecté avec les services spéciaux d'Hitler, qui a couvert toutes les sphères de la société allemande.
L'illustration suivante, nous donne précisément sur le comment ont été choisis et entraîné les officiers de renseignement allemands, ou il est possible de donner les rapports du prisonnier qui était déjà mentionné auparavant du mois de novembre 1941 près de Tikhvin de Hans "Ouragan" (nom de code), Né en 1902 et provenant de la génération, des natives de la Pologne. En 1937 il a déménagé en Prusse et a été recruté à l'usine « Rons meri ». Le propriétaire de l'entreprise l'a par le passé sans cesse et presque sous la forme de le forcer, de lui proposer d'améliorer sa connaissance de la langue russe, après avoir passé des cours additionnelle. "Ouragan" accepta. Plusieurs jours après il a été nouvellement appelé au bureau du propriétaire, où il se trouvait en compagnie de 23–25 autres ouvriers. Ils ont tous été placé dans un véhicule à moteur, et ont été conduit dans la banlieue de Hambourg et ils ont été logés dans le premier étage d'un bâtiment qui en comportait cinq, en étant complètement isolé avec les autres résidents des quatre autres étages.
Les « cours » se sont avérés être complètement innovant. Pendant leurs temps il a été introduit de s'occuper réellement à travers l'étude sur la conversation dans la langue russe, en outre — il a été même été introduit l'orientation dans la localité, pour pouvoir utiliser la boussole, pour lire une carte topographique, pour pouvoir réaliser des léger codages. Le codage que "Ouragan" a eu était particulièrement difficile, ou son instructeur l'a battu. Sans vouloir maintenir le régime, après avoir pris un bon moment pour y réfléchir, il quitta l'école et reparti à l'usine «Rons meri», où il a repris son poste de travail.
Rappelons, que tout ceci s'est produit dès 1937.
Et au commencement de la guerre Ouragan fut nouvellement appelé par le propriétaire de l'usine et, réellement, ou cette fois ci il le motiva pour entrer volontairement dans la Wehrmacht, ou le propriétaire lui promis de lui payer encore 500 Reich mark mensuellement. Autrement il était sujet d'être viré.
De l'endroit ou a été regroupé le groupe, dans lequel ils ont inclus Ouragan, ils ont en premier été envoyé dans Riga, et de là à Uritsk (Strelna) aux alentours de Léningrad. Le 1er novembre 1941. ils sont parti avec un véhicules à moteur vers Tikhvin proche de la première ligne, dans le village du district, ou la moitié était occupée par des Allemands. Le 5 novembre en compagnie d'un associé, suivant de différents itinéraires, il a passé la ligne de front avec la tâche d'effectuer une récolte d'information d'une reconnaissance en ce qui concerne Tikhvin et le 6 novembre il a été arrêté.
Dans les pays dévastés de l'Europe, le contre-espionnage allemand a établi des mesures pour organiser des jeux d'opération et des jeux avec la radio. Dans ces buts ont été créés les subdivisions du contre-espionnage- Radio de « L'OKW », qui sur le territoire du nord-ouest de notre pays occupé ont été codé à travers les troupes de liaison de la Wehrmacht.
Une telle subdivision « de l'OKW » a été placée dans la ville de Tartu et son travail consistait à développé et à entretenir son réseau avec son service d'agence secret à l'arrière de nos lignes.
Même déjà dès leurs entrées sur le territoire de l'union Soviétique, les services spéciaux allemands détenait déjà une base de recrutement des russes disponible (la base de recrutement pour les citoyens soviétique) était celle de Vorjashchej, ou a été créé la base pour la formation des groupes des service secrets. Les personnes recrutées étaient des anciens émigrés caucasien, et qui sont souvent devenus résidants. Ainsi que les descendants des états baltiques, qui en règle générale ont été employés, comme traducteurs.
Proportionnellement à l'avance de la 18ème Armée allemande vers Léningrad la composition des résidents c'était complété à travers le nombre de soldat traîtres de l'armée rouge, qui eux son passé du côté de l'ennemi.
Dans les deux premiers mois de la guerre, les Allemands ont eu l'avantage psychologique, depuis l'ordre pour mener des opérations offensive sur notre territoire et, considérant déjà que leur, leur ordre a été confirmé. La machine militante de Goebbels a travaillé en pleine puissance. Son fonctionnement était concentré sur la population locale, et a contribué de sorte que une partie significative ait soutenu le régime d'occupation ou du moins elle lui obéissait. La partie d'habitants hostile était accueillante, particulièrement ceux qu'ils ont été précédemment punis par le régime soviétique ou qui ont été exproprié et ont pensé l'obtenir à nouveau, et qui eux indépendamment se sont mit à collaborer avec les autorités allemandes.
Les travaux effectuer par les mesures militaro administrative complexe des Allemands, y compris l'enregistrement de la population locale et la filtration des habitants des régions frontales, ou dans la région de Léningrad fut créer un camp de civil, et qui a permis au contre-espionnage allemand pour retrouver les personnes, qui ont activement participé au travail du parti et aux organes des Soviétiques. Le rassemblement public fait par les Allemands a servi à intimider des personnes, de ce fait créant les conditions idéales, qui assurent d'effectuer des renseignement et le travail de contre espionnage à leurs services spéciaux. Cependant, pendant les deux premiers mois d'occupation de la région de Léningrad, cela ne fut pas le plus important des choses à faire, mais la chose urgente à réaliser et complètement, était l'espérance d'une prise rapide de Léningrad.
En même temps que la 18ème armée allemande, le 5 juillet a traversé la frontière de la région de Léningrad, et qu'ils ont mis en place sur le territoire occupé les organes de renseignement et de contre renseignement de l'ennemi. Il est nécessaire de dire que les Allemands étaient des champions pour la création des structures parallèles, et qui accomplissent les mêmes fonctions ; Ainsi donc il ne faut surtout pas s'étonné que le nombre « de service de renseignement et de contre-espionnage » sur le territoire occupé a excédé dix.
Euhhhhhhhhhh la vous allez tombez de haut, pour toute les personnes qui ont vite conclu, que le groupe 1C était directement subordonné à l'Abwehr, ou au soit disant groupe "Walli".
Non, la réalité est tout autre. il a fait partie, comme ont pourra le voir, des 10+ groupe de renseignement, qui ont été créer.
Sonderführer Meisner, était le premier nom que j'ai trouvé.
Donc pour qu'il n'y pas de confusion, je vous donne la photo, en raison, que il existait encore un Otto Meissner.
et qui lui, n'a aucune liaison avec le groupe 1C
Donc Boris Meissner, qui était née à Pskov/Pleskau en 1915
donc pas encore de liaison avec von Regenau."